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Par ZAZA-RAMBETTE dans Contes - Légendes - Nouvelles le 10 Janvier 2011 à 07:02...visage n’était plus qu’un plaie. De tout son corps le sang coulait, entraînant la vie. A ce moment, Vallarmis, René et Larseneur paraissent sur le seuil et restaient cloués au sol devant l’horrible spectacle. La colombe releva le front et dit encore d’une voix sourde :...
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Par ZAZA-RAMBETTE dans Contes - Légendes - Nouvelles le 8 Janvier 2011 à 07:02...d’enthousiasme et il cria par trois fois plus fort que tous les autres : - Vive la France ! Vive le roi ! Au même moment il aperçut Larseneur et Vallarmis qui le cherchaient. Le vieux soldat traînait après lui la bohémienne. En un instant René fut auprès d’eux....
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Par ZAZA-RAMBETTE dans Contes - Légendes - Nouvelles le 7 Janvier 2011 à 07:02...décidez-vous, monsieur le maréchal ? - Allez ? colonel, j’ai foi en vous, mais rappelez-vous que je vous défends de vous faire tuer. Mais Vallarmis n’écoutait plus. Lui et René étaient déjà en selle et galopaient, ivres de joies, vers Hulines où se trouvait le régiment. ...
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Par ZAZA-RAMBETTE dans Contes - Légendes - Nouvelles le 11 Décembre 2010 à 07:02...lu et manipulé par des mains enfantines Chapitre VI (suite) Dans lequel on verra pourquoi Vallarmis et Tranquille Rageot N’avaient pas continué Leur voyage jusqu’ son terme La Colombe ne releva pas ce la phrase de Tranquille avait de peu flatteur pour lui. - Si je te...
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Par ZAZA-RAMBETTE dans Contes - Légendes - Nouvelles le 2 Décembre 2010 à 07:02...revendiquait hautement la bouche mince et la mâchoire puissante, volontaire. C’était le frère de lait du duc de Vallarmis. En voyant son maître sortir pâle et défait du carrosse soutenu par René et deux laquais, il s’élança vers le duc en levant au ciel ses bras maigres....
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Par ZAZA-RAMBETTE dans Contes - Légendes - Nouvelles le 1 Décembre 2010 à 07:02...Pimprenelle, s’occupait de Pfyffer d’Altishoffen qui semblait fort mal accommodé. Des valets s’empressaient autour de Vallarmis dont la blessure n’était pas bien dangereuse. L’épée de René avait déchiré les chairs de l’épaule sans toucher à l’os et au nerfs. Quand le...
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Par ZAZA-RAMBETTE dans Contes - Légendes - Nouvelles le 30 Novembre 2010 à 07:02...l’émotion ressentie, ne semblait plus rien voir, ni entendre. - Et, maintenant, monsieur le marquis, dit Vallarmis, permettez-moi de vous adresser toutes mes excuses pour mon emportement et ma grossièreté de tout à l’heure. Je me suis vraiment conduit comme un courtaud. - Ah !...