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Par ZAZA-RAMBETTE le 25 Avril 2011 à 06:02
Si ce récit authentique du départ de la « MOUETTE » vous a intéressé, vous pouvez trouver dans le commerce la suite de cette histoire vécue par Henri AUGUSTIN.
ROYAN sera son dernier combat pour la liberté de la France.
La capitulation de l’Allemagne intervint le 8 mai 1945. Son livre s’intitule « DE RENNES A L’EQUATEUR », est paru en 1949 aux imprimeries Simon de Rennes.
Il est toujours possible de le commander dans la Bibliographie sur la France Libre
Fondation de la France Libre
59 rue Vergniaud
75013 Paris
France
Pour ceux que cela intéresse…
Qui était Henri Augustin ?…
Naissance : 24 juillet 1921 - Compiegne 60
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Venait de : Métropole
Origine sociale : étudiant / scolaire
Grade atteint pendant la guerre : lieutenant
Affectation : terre 1re DFL / BM9Ensuite :
Diplôme de l’Ecole Polytechnique, il intégrera le corps des ingénieurs de la Météorologie.Engagé très tôt dans les activités religieuses et paroissiales, il sera président de notre association de 1992 à 1998.
Henri AUGUSTIN 24 juillet 1921 – 25 juin 2010, président 1992-1998
Né en 1921, Henri AUGUSTIN était le second d’une fratrie de douze enfants.
Il aura à son tour six enfants, nés de son union avec Colette, elle-même Fille de Saint-François de Sales.
A peine admissible au concours de l’Ecole Polytechnique (promotion 1940), il prendra une part active à la seconde guerre mondiale en s’embarquant depuis l’Ile de Batz, dès le mois de juin 1940, pour rejoindre l’Angleterre.
Il racontera cette expérience précoce de la vie avec le regard d’un si jeune homme dans son livre « De Rennes à l’Equateur ».
Son dévouement à la Patrie sera récompensé par la Croix de Guerre 39-45 et par la Légion d’Honneur.
A son retour, il reprendra ses études à l’Ecole Polytechnique, puis intègrera le corps des ingénieurs de la Météorologie, et les sciences météorologiques le passionneront tout au long de sa carrière.
D’une grande curiosité intellectuelle toujours inassouvie, il entraînera un grand nombre de collaborateurs dans ses missions en métropole ou en service outremer.
Engagé très tôt dans les activités religieuses et paroissiales, il aura été membre d’une équipe Notre-Dame pendant plus de 25 ans, tout d’abord à Tahiti, puis à Versailles où il s’installera définitivement en 1970.
Une fois retraité à la limite d’âge de 66 ans, il assurera pendant plus de dix ans le service de l’accompagnement des familles en deuil au sein de sa paroisse de Saint-Symphorien.
Il visitait aussi les malades et les personnes âgées.
Il aura eu profondément à cœur de faire vivre l’antenne française de la Société des Fils de Saint-François de Sales, dont il acceptera de présider le groupe de Paris-Versailles.
De fait, il assurera la charge de nombreuses activités, de l’organisation des réunions à la rédaction du bulletin, ou à la contribution au site Internet, voire par ses correspondances avec des Fils appartenant à des groupes étrangers, se dépensant aussi sans compter pour chacune des retraites annuelles qu’il organisera.
Il aura eu en particulier le bonheur de renouer les liens avec deux fils, résidant aux Etats-Unis, qui avaient été totalement perdus de vue.
Artisan de paix dans l’âme et très attentif aux autres, d’une très grande discrétion instinctive, d’une humeur toujours bienveillante et d’une activité très régulière grâce aux progrès de l’informatique et d’Internet, il n’a eu de cesse de maintenir une présence active au sein du groupe tant que ses forces le lui ont permis.
Il nous a quittés le 25 juin 2010 .
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