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Par ZAZA-RAMBETTE le 28 Janvier 2011 à 06:00
Ecologie, nature et vie campagnarde
Devant tant de fanes à piler, la fermière aux rosses hépatiques se sent tenue de fournir les bœufs.
Mais les bœufs sont à nous et la mouche les rend rétifs !
- Oh, les pis m’inondent ! gémit la servante qui s’occupe de la traite des biques.
Cela m’incommode, l’écart d u pis ! (ATTN : contrepet multiple et dan le désordre)
- Pourquoi ce déchet alors qu’on a des lois ? demanda l’autochtone aux petites crasseuses qui mont/aient leur camp près des résidus. Ah, j’en suis choqué de tous ces petits tas !
Ce sont les nymphes pyromanes qui veulent faire une bonne braise avec toute les pin/èdes :
- Prenons garde que ces feux ne nous dénoncent ! Oh, la futaie déjà branlantes, oui, la futaie près du camp : il ne faut pas les brûler, sans cela !…
Il y a trop de fraîcheur pour tous ces locataires ! Nous devrions mettre nos pull-overs avant d’aller copiner. C’est embêtant que la bise souffle jusqu’au banc, et nous vibrons tous dans le vent !
L’ouvrier se fait octroyer une petite nippe avant d’aller travailler aux poires, et la femme du vigneron, qui n’ose considérer les quelques grappes de son pauvre mari comme une mine, doit montrer au contrôleur sa taille de ceps et le volume de ses gains :
- Lâchez don mon chai, vous voyez bien que ma jatte est fichée !
La fermière ne peut sentir les citadins, ces forbans de la cité.
J’ai vu La/Bonde buriné, l’écart d u pis. (ATTN : contrepet multiple et dan le désordre)
Le géomètre nul a retracé jusqu’au chou la petite marque, bien qu’il ait vu sa trace.
Oh, votre mine empiète.
Quoi ! vous avez loupé vos cailles et cette grosse bête : un tir minable !
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