• Deux visites ont marqué mon enfance  !

    Celle de l’Aven D’orgnac

    Un peu de géologie et de spéléologie – 3ème partie

    et celle de l’Aven Marzal

    Un peu de géologie et de spéléologie – 3ème partie

    La sœur aînée de ma maman, habite Bagnols Sur Cèze

    Un peu de géologie et de spéléologie – 3ème partie

    dans le Gard depuis plus de 55 ans. Son époux travaillant au CEA, fut muté à Marcoule.

    Un peu de géologie et de spéléologie – 3ème partie

    La première visite dans le Gard, date de 1963, LANNION – BAGNOLS-SUR-CEZE avec l’Ariane familiale

    Un peu de géologie et de spéléologie – 3ème partie

    dont il a fallu dans la nuit déposer le moteur, effectuer la réparation et reposer le moteur.

    Que de souvenirs de ce périple ! Avec ma sœur, nous avions dormis chez le garagiste de Roanne.

    Un peu de géologie et de spéléologie – 3ème partie

    Le lendemain matin après un solide petit déjeuner, nous reprenons la RN7 en direction de Lyon. La voiture était en phase de rodage, et pas d’excès de vitesse. Le col du Pin Bouchain est le point culminant de la RN7,

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    à quelques 10 km de Tarare dans le Rhône (69).

    Eh bien je vous garantis que nous n’en menions pas large, de peur de voir l’Ariane s’arrêter avant d’avoir franchi le col… !

    Afin d'éviter que mon père fourbu de sa nuit, ne s'endorme, maman les pieds sur le tableau de bord, lui bourrait une bouffarde de temps en temps

    Un peu de géologie et de spéléologie – 3ème partie

    et lui allumait. J'ai encore dans le nez, l'odeur du tabac gris qui se consommait !

    Enfin, après plus de 1000 km, nous retrouvons la tata, le ton, le cousin et la cousine aux Escanaux

    Un peu de géologie et de spéléologie – 3ème partie

    à Bagnols-sur-Cèze, dans cette cité réservée au personnel de Marcoule. A cette époque là.

    Le tonton et la tata habitaient un petit immeuble, pas très loin du théâtre en plein air, près du Mont Cotton.

    Un peu de géologie et de spéléologie – 3ème partie

    Une huitaine de jours pour visiter.

    Mon oncle, d’origine catalane espagnole, naturalisé français après avoir fuit le franquisme avec son père (sa sœur et sa mère avaient quitté l'Espagne avant eux, et se trouvaient parquées dans le camp d'Argelès).

    Il avait pour passion la géologie et la spéléologie.

    Vous pensez bien que nos visites furent consacrées, à la Cèze et ses marmites, au pont du Gard, à l’Aven d’Orgnac, l'Aven Marzal, et pour les grands, cela va de soi,  aux caves coopératives de Lirac, Laudun, Tavel, j'en passe et des meilleures.

    Eh, il fallait bien amortir les 1000 km de retour !

    Depuis 1963, je suis revenue à plusieurs reprises sur Bagnols-sur-Cèze, et j'ai revisité certains endroits avec beaucoup de plaisir.

    La dernière fois que nous sommes redescendus sur Bagnols-sur-Cèze, rendre visite à la tata, c'était en 1998.

    Nous avons visité les deux Avens ci-dessus énoncés. Poux ronchon et les filles ne connaissaient pas. J’y suis, bien entendu, revenue une fois de plus avec toujours autant d'émerveillement en admirant ces concrétions calcaires

    Nous allons commencer par l'Aven d'Orgnac et l'Aven Marzal.

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    Pour les visites des Avens, la tata avait déclaré forfait.

    Anna et Ellen nous accompagnèrent dans l'Aven d'Orgnac.

    Par contre, dans l'Aven Marzal, la tata garda Ellen, trop petite pour nous accompagner.

     


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