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Viendrait-elle d'Alpha du Centaure ???? (FIN)
Alpha du Centaure et son environnement
Au petit matin, l’espace d’un instant je me demandai si je n’avais pas rêvé.
Ma présence sur le canapé semblait attester du contraire. Juliette sortit de ma chambre et rendra dans mon séjour.
- « Bonjour ! » Me dit-elle avec un grand sourire
- « Bonjour ! » Lui répondis-je sans faire allusion à ses cheveux noirs.
- « Je me suis permise de me servir de ta salle de bain pour prendre une douche ! Tu ne m’en veux pas ? » Rajouta-t-elle.
- « Non ! Euh…. ! Tu as bien fait ! »
- « Tu nous prépares un café ! » Me lança-t-elle, la main sur la poignée de porte. « Je descends chercher des croissants ! »
Et elle sortit.
Je me levais et m’exécutais en préparant le café. Une fois avoir appuyé sur le bouton de la cafetière, je me rendis dans la salle de bain pour prendre une douche à mon tour.
S’il n’y avait pas eu la présence d’autant de cheveux rouges dans et autour du lavabo, j’aurais sans doute pu jurer avoir toujours connu Juliette en brune.
Je m’habillais. La sonnette de la porte d’entrée retentit.
- « C’est ouvert ! Entre ! » Lui criai-je depuis la salle d’eau.
N’entendant aucun bruit, je me suis dit qu’elle avait peut-être les mains trop prises pour pouvoir actionner la poignée de la porte d’entrée. Je me rendis jusqu’à celle-ci.
- « Tu n’arrives pas à ouvrir ? » Questionnais-je en ouvrant la porte rapidement.
La seule réponse que j’eusse obtenue fut celle d’un poing
énorme s’approchant de mon visage à la vitesse de la lumière.
Au contact de cette météorite humaine, je m’effondrais sans résistance tel un pantin désarticulé.
Combien de temps s’écoulèrent avant mon réveil ?
Je ne saurais le dire. De même façon que je ne saurais exactement décrire la pièce dans laquelle je me trouvais à mon réveil.
J’étais ligotée sur une chaise,
au centre d’une immense pièce intensément sombre. Il me fallut garder les yeux ouverts un bon moment pour qu’ils puissent s’habituer suffisamment à la pénombre et me permettre de distinguer tant bien que mal quelque chose.
A la prime abord, j’avais opté pour un hangar désaffecté mais un élément particulier n’aurait pu manquer de toucher mon attention. Il régnait dans la pièce une odeur bien spécifique, une odeur qui me ramenait les images oubliées de ma plus tendre enfance….
…Je me souvins alors de mon père. Il était marin, marin à bord d’un cargo de la marine marchande.
Je me revoyais sur le port, la main calée dans celle de ma mère, quand du haut de mes cinq ans je voyais se dresser devant moi la carcasse gargantuesque de ces monstres des mers.
Nous n’avions pas été souvent voir mon père sur les bateaux où il travaillait, une fois, deux fois peut-être. J’avais complètement oublié ces images.
Moins d’un an plus tard, ni mon père, ni son bateau ne revinrent d’un long courrier. Perdus en mer avaient-ils dit à ma mère, perdus en mer, mon père, le bateau, le reste de l’équipage, la cargaison.
Jamais on ne retrouva la moindre trace de leurs existences. J’avais fini par oublier. Mais aujourd’hui, aujourd’hui, mon odorat se souvenait. Il se souvenait de l’odeur, l’odeur si particulière du gas-oil qui s’accroche à la coque, qui s'échappe du moteur,
l’odeur qui s’accroche aux narines, l’odeur qui donne la nausée, l’odeur qui s’accroche à la mémoire…
J’étais dans un bateau, dans la cale d’un bateau.
Que faisais-je là ?
Que me voulait- on ?
Qui m’y avait emmenée ?
Pourquoi ?
Depuis combien de temps ?
S’était-on inquiété de mon absence au journal ?
Me recherchait-on déjà ?
Les questions se succédaient dans mon esprit à la vitesse de l’éclair. Seule embellie dans ce sombre tableau, les réponses n’allaient pas tarder à suivre. J’entendais marcher dans mon dos.
- « Bonjour ZAZA ! » Me dit un homme en arrivant à ma hauteur.
Agé d’une bonne cinquantaine d’années, les cheveux grisonnant, il devait mesurer une bonne toise.
Plutôt de bonne allure, malgré une barbe naissante, mon interlocuteur était habillé correctement, ce qui tranchait étrangement avec le décor environnant.
Il était accompagné de trois autres acolytes du même acabit.
Il me tint une bien drôle de chanson.
- « ZAZA » reprit-il tandis que l’un des autres hommes défaisait mes liens. « J’aimerais que vous compreniez que nos intentions sont des plus pacifiques à votre égard et j’aimerais tout autant que vous acceptiez mes plus plates excuses concernant la façon pour le moins… comment dire ? Hum… disons… cavalière par laquelle vous fûtes amenée ici. Croyez bien que j’en suis le premier désolé et que je me ferai mieux comprendre de mes amis la prochaine fois que je leur ferai part de ma volonté de rencontrer quelqu’un. »
- « Tous ceci est bien joli, mais si vous me disiez plutôt qui vous êtes et ce que je fais là ! » le coupai-je avant que son monologue ne s’éternise.
- « Je m’appelle Bryan, Bryan Adams »
- « Enchantée »
- « Je ne passerai pas par quatre chemins ZAZA, je recherche Juliette. »
- « Juliette ? Connaît pas ? »
- « Ne faites pas l’innocente ZAZA, je sais que Juliette a passé la nuit chez vous. Elle a dû s’absenter peu de temps avant l’arrivée de mes amis. Car en fait, ce n’est pas vous qu’ils étaient censés me ramener, mais elle. »
- « Et ils étaient aussi censés vous la livrer au même endroit et dans le même état » Rajoutais-je ironiquement.
- « Un point pour vous, ZAZA. Seulement ce que vous ne savez peut-être pas c’est que Juliette n’a pas toujours le même visage. Elle est… tantôt ange, tantôt démon. »
- « Et quel visage ai-je vu l’ange ? Ou le démon ? » Finissais-je d’une voix plus grave.
- « Ne plaisantez pas ZAZA. L’affaire est bien plus sérieuse qu’il n’y paraît. »
- « De quelle affaire parlez-vous ? Monsieur…. Adams ? »
- « Nous sommes partis du mauvais pied ZAZA. Croyez-moi ! Les méchants…. Ce n’est pas nous ! Alors s’il vous plaît, répondez juste sérieusement à une question ! Juliette vous a-t-elle dit qu’elle se transformait ? »
Sa voix avait pris une intonation différente, plus grave, plus sérieuse. Une nuance remplie d’inquiétude et de crainte, une nuance à laquelle je n’aurais pu répondre par un mensonge.
- « Juliette m’a en effet dit qu’elle subissait ce qu’elle appelle une mutation. »
- « Que vous a-t-elle dit sur cette mutation ZAZA ? »
- « Pas grand-chose, que ces cheveux étaient parfois noirs
et parfois rouges et… vous allez rire, que des ailes lui poussaient dans le dos. »
- « Cela ne porte pas à rire ZAZA. Elle ne vous a rien dit d’autre ? »
- « Que les ailes étaient parfois blanches et parfois noires
et que leur couleur pouvait avoir une influence sur son comportement. Mais, de là à en faire un ange ou un démon il y a monde ! »
- « Juliette n’a rien d’un ange ZAZA… »
- « Ni d’un démon ! J’ai passé une soirée et une nuit avec elle, je pense que je m’en serais aperçue ! Par contre elle a une bien sombre opinion de vous !»
- « Juliette vous a parlé de nous ? » Dit-il surpris.
- « Elle m’a dit qu’on lui voulait du mal ! Qu’on voulait arrêter sa mutation ! En fait, c’est même pour cela qu’elle est venue me voir ! Elle voulait que je la protège… de vous ! »
- « La protéger de nous, c’est ridicule. C’est plutôt nous qui devrions vous protéger d’elle. »
- « Je suis assez grande pour me protéger toute seule ! » Lui répliquai-je excédée.
Il porta la main à son menton, paru soucieux et me dit alors :
- « Savez-vous qui est Juliette ? Savez-vous en quoi elle se transforme ? Savez-vous ce qui va se passer si nous ne la guérissons pas à temps ? »
- « La guérir ? »
- « Que voulez-vous que nous fassions d’autre ? »
- « Elle pense que vous voulez la tuer ! »
- « Nous préférerions la guérir tant que possible. »
- « Mais vous n’excluez pas la possibilité de la tuer ? »
- « Uniquement s’il n’y a pas d’autre issue possible mais il s’agit là d’une éventualité tellement inacceptable pour nous que je ne conçois pas que nous ne puissions la guérir. »
- « Et pourquoi ne pas accepter cette mutation tout simplement ! »
- « Vous seriez assurément une des premières à le regretter ZAZA en constatant les dégâts que cela engendrerait. »
- « Les dégâts ? »
- « Juliette n’est pas la première qui a connu les affres de cette mutation. Nous avons pu prendre toute la mesure de l’horreur de celle-ci. »
- « Et vous avez réussi à guérir les précédents ? »
- « En toute franchise…. Non. »
- « Et après cela vous vous étonnez que Juliette pense que vous voulez la tuer ? » Rajoutais-je.
Bryan Adams semblait soucieux.
Il m’était profondément antipathique, pourtant…, pourtant je ne saurai dire pourquoi, mais je ne désirais pas écourter cette conversation. J’avais besoin de savoir, besoin de comprendre, besoin d’expliquer l’inexplicable.
Mon interlocuteur n’avait pas répondu à ma réflexion précédente.
Le silence ne dura qu’une ou deux secondes avant que je ne repris la parole.
- « Comment comptez-vous la guérir ? »
- « Nous savons que la mutation qu’elle subit est d’ordre génétique. Elle a pour point de départ une altération de la composition du sang. En fait toutes les personnes qui ont subi cette dégénérescence sont issues de la même famille. Nous avons réussi à isoler quel ancêtre de Juliette est à l’origine de l’anomalie. Le plus déroutant c’est que la mutation ne touche pas tous les descendants et ne se déclenche qu’à l’approche des vingt ans »
- « Attendez ???, je ne comprends pas. Vous prétendez que la mutation que subit Juliette est liée à une maladie génétique. »
- « Sans aucun doute possible. Il s’agit du comte Vladimir Ladislas Dobokai Losonczy
né le 16 décembre 1458 à Oradea, ville située sur la frontière entre la Hongrie et la Roumanie, coté roumain bien évidemment. »
- « Juliette ne vient pas d’Alpha du Centaure ? »
- « D’où ? » me reprit-il étonné.
- « Juliette m’a raconté qu’elle venait d’une autre planète qu’elle avait dû fuir avant qu’elle n’implose. Elle m’a raconté que vous aviez émigré vers la terre car s’était la planète la plus habitable pour vous. Cependant pour certains d’entre vous le voyage créait une anomalie du métabolisme corporel entrainant une mutation. Les autres centauris traquant les mutants pour les tuer. »
Mon interlocuteur sourit.
- « Et vous avez cru une histoire aussi extravagante. Non, soyons sérieux ZAZA. L’affaire qui nous préoccupe tient du surnaturel, il est vrai, mais pas au point d’y mêler des petits hommes verts. »
- « Qui êtes-vous alors ? »
- « Bryan Adams, je vous l'ai déjà dit. » Me répondit-il avec une grande dose de fierté dans la voix. Je travaille pour le gouvernement des états unis. »
- « Quel genre de service ? »
- « Disons qu’il s’agit d’un département scientifique qui travaille en liens étroits avec les services de renseignements, de police et de la sécurité du territoire. Il arrive, comme vous pouvez le constater que nous ayons à intervenir extra-muros à la demande des gouvernements de pays amis. Une sorte de Fox Mulder .»
- « Je vous avoue que je suis un peu perdue. Je ne sais plus qui croire entre vous et Juliette. Ne pourrions-nous pas poursuivre cette conversation dans un endroit plus agréable. Je sens que notre entretien n’est pas prêt de se terminer. »
Après cette séquestration involontaire et la discussion avec Bryan Adams, je regagnais mon appartement 2 pièces, dubitative.
Complètement perdue vis-à-vis de ces derniers évènements, je pris un congé sabbatique, pour poursuivre les investigations.
Juliette n’était pas revenue et j’étais fort inquiète.
Aurait-elle été capturée par cette équipe de scientifiques américains dirigée par Bryan Adams ?
Avait-elle pu jouir de son capital temps pour trouver un autre havre de paix ?
Ces questions m’obsédaient.
Et puis trois mois après ces évènements, Juliette revint à ma rencontre, en bas de mon immeuble.
Comme elle avait changé. Son opulente chevelure rouge, lors de notre première rencontre, devenue brune quand elle quitta l’appartement pour aller chercher des croissants, la chevelure était devenue toite blanche, elle avait pris 30 ans en 3 mois.
Son visage avait changé. Son regard noir n’avait plus la même expression.
Mais qu’avait-elle vécu pour avoir tellement changé ? Que c’était-il passé ?
Elle se jeta dans mes bras en me retrouvant, et nous sommes rentrées dans mon, appartement 2 pièces.
Elle était lasse, et je devinais implicitement qu’elle avait dû, pendant ces trois mois, se cacher, déjouer les pièges de ses agresseurs …
… Comme elle avait souffert, comme elle avait dû puiser dans son capital temps.
Nous n’avons pas échangé un mot, mais nous nous comprenions juste au travers un regard.
J’avais compris que son histoire sur Proxima centauri issue d’Alpha centauri A et Alpha centauri B était bien réelle.
Cette équipe américaine ne la poursuivait que pour en faire un rat de laboratoire et en tirer des informations sur cette espèce d’extra-terrestre.
Il fallait se rendre à l’évidence que Juliette faisait partie de ces petits êtres tellement convoités depuis l’affaire ROSEWEL en juillet 1947.
Elle resta muette, mais nous n’avions pas besoin de nous parler pour nous comprendre.
D’un commun accord, nous décidions de quitter la capitale.
Nous avons passé 40 ans ensembles, de connivence, sans échanger un mot dans une petite masure
des monts d’Arrée, à proximité de la chapelle Saint Michel de Braspart.
Nous vivions de notre maigre potager, de quelques volailles, du lait de deux chèvres et de l’eau du ru qui alimentait les commodités de la masure.
Chaque lever et coucher de soleil offrait ce spectacle de mon nord Finistère.
40 ans passés en communion spirituelle avec Juliette, pour en apprendre bien plus sur sa vie, Proxima et la jumelle Alpha du Centaure.
Le capital temps de Juliette était épuisé, et une nuit, dans le cercle de pierre en contre bas de la chapelle Saint Michel,
un OVNI venu de nulle part se posa.
Ses occupants se déplacèrent jusqu’à la masure que nous occupions avec Juliette depuis 40 ans. Leur chef m’expliqua que les sœurs jumelles d’Alpha du Centaure avaient reconstitué une communauté avec les survivants de Proxima.
Juliette était une princesse de rang de cette communauté. Ils devaient la ramener parmi eux.
Ils me remercièrent chaleureusement d’avoir veillé sur Juliette, et ayant percé mon secret, me proposèrent de renaitre pour une nouvelle vie dans leur communauté, mais cela est une autre histoire que je vous raconterai certainement un autre jour.
ZAZA, la conteuse
Tags : ovni, roswell, masure, arrée, monts, américains, scientifique, juliette, chevelure, verte, temps
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Commentaires
Formidable histoire qui fait danser l'imaginaire au coin de l'âtre ou sous un grand ciel étoilé en attendant que viennent des êtres merveilleux!
Bravo Zaza et mes amitiés à Juliette des hautes sphères, gros bisous!
Cendrine
salut
c'est une belle histoire mais je me demande toujours si il y a d'autres êtres dans l'univers
bonne journée
Bonsoir Zaza,
J'ai lu tout d'un trait, quelle histoire ! a tu eu des nouvelles de Juliette depuis ?
Merci, j'adore ! tu devrais publier tes écrits !
Bonne soirée, amitiés, Véronique.
Mais quelle histoire ZAZa ,j'étais scotchée à mon ordi pour savoir la suite ,tu sais bien nous tenir en haleine,un vrai régal à te lire ,tu as des dons d'écriture à exploiter peut être .
nous ne sommes pas partis ,mon homme bloqué et puis le mauvais temps aidant on est mieux ici
bonne fin d'apmidi avec des bisous pluvieux
rosedesneiges
Hé béh dis donc mazette ! En vlà une bien curieuse aventure. C'est plaisant de se laisser aller au gré de l'imaginaire de Zaza la conteuse. @+
22monica et la merLundi 29 Avril 2013 à 15:30hello Zaza super ton histoire
et bien illustrée avec les monts d arrée j ai aimé
( j espére que ta maman se remet bien )
( fait beau sur la cote pas de brume en mer , mais il pleut plus... depuis huit jours au moins ( me demande ou je suis ) loll
bises à KENAVO
Sacré Zaza que j'embrasse très fort en pensant à ta maman,
Extra terrestre ton conte, comme quoi il reste encore de ce monsieur Adams quelques chansons, se prenant parfois pour Robin des bois...
http://www.dailymotion.com/video/x12kca_everything-i-do-i-do-it-for-you_music#.UX5zWrXF98E
Bigre, quel talent ! palpitant, suspens, la trouille, tout y est !
Tu as une belle imagination et une belle "écriture"
Oui Ekla c'est super, mais là je suis coincée, mon desing est bloqué, je ne peux plus rien modifier. J'ai posé le problème et j'attends la réponse d'Ekla.
Sinon, c'est super, on s'y sent bien.
Gros bisous Zaza et merci pour tes commentaires chez moi.
Anniclick
Voilà une belle histoire qui comble mon imaginaire. Bravo et merci à toi pour ce rêve éveillé. Bisous j'espère que ton capital temps sera le plus long possible.
Quand on sera encore plus vieilles (hips)... au soir à la chandelle, tu me remémoreras tes belles histoires à faire frissonner les coeurs fragiles, oh làlà j'en suis toute chose ! J'adore cette jolie chapelle Zaz
Gros bisous à toi
Marine
15Mimi de BrugesLundi 29 Avril 2013 à 11:47QUel talent, belle histoire, comme quoi il faut toujours se fier à ses intutions. Tu as bien fait de lui faire confiance.
Bonne semaine. Gros bisous
Bonjour ma douce Zaza
Tu m'as tenue en haleine jusqu'au bout, oui tu mérites le titre de conteuse, j'ai beaucoup aiméBonne journée et gros bisous
Méline
un beau conte raconté par celle qui a vécu cette histoire on pourrait presque y croire
bisous
Si tu es toujours dans ta masure j'irai un jour te rendre visite et au coin du feu nous partagerons nos aventures
Bisous
Je suis moi même un descendant de Rosewell...étant né en avril 1948...9 mois avant, faites le compte !
J'adore la fin de ton histoire... j'ai failli croire à cette maladie génétique mais je préfère celle que tu as choisie !
Merci ma Zaza pour cette belle histoire.
Bisous et douce journée.
2DANY SAILLYLundi 29 Avril 2013 à 06:50Voila d'ou vient ton don de conteuse !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! tes étranges amis te l'on offert en échange de ton dévouement , bonne journée bises
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Bonjour Zaza,
Ton histoire est un veritable bon moment de lecture? tu as un talent de conteuse absolument extraordinaire. Bravo et Merci ! Bises bien amicales.
Henri.