-
Flamberge au vent (suite 18)
Un prix scolaire décerné à mon papa
pour son certificat d’étude.
Tellement lu et manipulé par des mains enfantines
Chapitre IV
Ou l’on traite de plusieurs sujets
Nécessaires à l’intelligence
De cette merveilleuse et véridique histoire
La pythonisse n’avait plus sa terrible voix. Son accent avait même, oserais-je le dire ?, des inflexions canailles.
- Oh ! la mère, dit Rosencœur qui n’avait aucun respect pour les devineresses, qu’y a-t-il donc de si pressé ?
- Il y a que c’est aujourd’hui que cet abominable baron doit venir savoir des nouvelles de son neveu et que je n’ai rien à lui apprendre.
- Si fait, ma sœur, dit le bel Hippolyte de sa voix pointue, vous avez beaucoup de chose à apprendre à ce digne seigneur.
- Et quoi donc, je te prie ?
- Ecoute Rosencœur, dit Mistouflet qui s’assit tranquillement sur la momie du grand Pharaon.
Le bandit raconta à la vieille tout ce que nous savons.
- Diable ! fit Galaxaure en se grattant le nez, ce qui pousser des croassements épouvantables à la corneille qui répondait au nom d’isabelle, il paraît que les affaires se compliquent.
- Il faut d’abord retrouver les traces de l’enfant.
Cela, je m’en charge, dit vivement la Colombe, avant deux jours, je saurai tout ce qu’il faut.
A ce moment, on gratta doucement à ma porte.
Hippolyte alla ouvrir.
- Tiens, dit-il monsieur Pippo !
- Moi-même, dit l’ingénieux valet qui se glissa dans la chambre tout en saluant à droite et à gauche.
- Et ton maître ? demanda Cantaloube.
- Mousou le baron est resté à la maison retenu pas un flux de ventre qui l’a pris hier au soir.
- Eh bien ! tant mieux, dit Galaxaure.
- Quoi donc, ma reine, fit Pepe Pippo en adressant à la vieille de tendres regards, n’avez-vous rien de bon à lui apprendre ?
- Justement, mon bel ami, di la devineresse qui remplit son verre, d’ailleurs on va vous raconter la chose en bas. Laissez-moi, j’ai besoin de faire un petit somme.
- A votre aise, chère belle.
Après de nouveaux saluts de la part de l’ingénieux valet, toute la troupe s’engouffra dans l’escalier.
Arrivés dans le corridor, Rosencœur et Mistouflet poussèrent la porte qui donnait dans le cabaret.
- Tu n’entres pas ? dit le bel Hipollyte à la Colombe.
- Non, j’ai à causer avec notre ami.
En passant son bras sous celui de Pepe Pippo, il franchit la porte.
Les deux coquins se trouvèrent sur le pavé du roi.
A DEMAIN POUR LA SUITE
Tags : , rosencoeur, hippolyte, apprendre, porte
-
Commentaires
Je pense qu'avec le redoux tu as pu aller visiter ta chère maman. Bisous et à bientôt. FRANCOISE
Bonsoir Zaza
J'aime bien le look d'hyppolyte ... en sa teune de soirée comme qui dirait!
Amitiés
tss tss...j'aime beaucoup la formule ...un flux de ventre...lol...c'est quand même drôlement plus élégant...bisous ma Zaza. @ demain.
Bon séjour dans ton fief...
C'est avec un temps humide que je te souhaite une bonne soirée, bisous
Bonsoir ma Zaza chérie
Là tu es radine tu aurais pu en mettre un peu plus !!!grrr
Je viens de récupérer mon ordi qui était en panne d’internet ;quelle galère !!!
Je ne sais si je vais pouvoir répondre à tous mes commentaires !
Je te souhaite ma douce une excellente soirée
Gros bisous Méline
il y a de quoi s'embourber sur tes routes!
J'ai vu à la télé ces inondations à cause de la neige!
Je te souhaite une bonne semaine après avoir lu la suite de l'histoire;Bisous
Ajouter un commentaire
helo,merci pour ton passage ,je te souhaite une belle et douce journee bises