Mise en bière !

C'est l'histoire d'un Belge qui voulait se faire enterrer avec sa bière préférée ... Manque de pot, il se la fait chouraver avant sa mise en bière définitive.

Cela ressemble à une blague, et pourtant cette histoire belge est tout ce qu'il y a de plus véridique selon Nord Eclair.

Indignation, rancœur, dégoût, il n'y a pas de mots pour exprimer ce qu'ont ressenti les proches de Marcel ce lundi au moment d'enterrer leur mari, papa et papy, décédé après une longue lutte contre un cancer du foie.

L'histoire se passe à Dottignies, près de Mouscron, à la frontière franco-belge.

Alors qu'il avait demandé aux siens de respecter sa volonté, à savoir de se faire enterrer avec une bouteille de Jupiler,

un malandrin a décidé d'aller contre ce souhait.

- « Mon mari aimait boire un bon verre », explique Martine Buyck, son épouse les larmes aux yeux. « De sa mort, il parlait de temps en temps et il disait toujours qu'il voulait être enterré avec une bouteille de bière. De la Jupiler, sa préférée. Malheureusement, ce jour est arrivé et on a décidé, avec mes enfants, de lui accorder cette faveur, même si elle n'est pas banale », souligne-t-elle. « On est arrivé avec les cendres de mon mari vers 17h30 et le fossoyeur était tout paniqué », souligne l'épouse du défunt.

C'est que la canette n'était plus dans le cavurne.

- « Mon sang n'a fait qu'un tour », explique un des quatre fils de Marcel. « On s'était promis de respecter ce choix. Je n'ai donc pas hésité, j'ai couru jusqu'au Delhaize pour lui apporter sa canette. »

Selon Nord Eclair, le défunt est même parti avec deux bières plutôt qu'une !

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La sieste !

Un automobiliste, après avoir fait 6 heures de voiture, décide de s’arrêter pour faire une petite sieste.

Juste au moment où il ferme les yeux, un coureur frappe à la vitre :
– " Vous avez l’heure ? "
– " Il est 2h, " répond l’autre.
– " Merci ! "

10 minutes plus tard, un autre coureur frappe à la vitre et dit :
– " Vous avez l’heure ? "
– " Il est 2h10, " répond l’automobiliste, exaspéré.
– " Merci ! "

Le chauffeur, pour ne plus être dérangé, colle sur la fenêtre un papier, sur lequel est écrit :

« JE N’AI PAS L’HEURE.  »

A peine vient-il de se rendormir, qu’un autre coureur frappe à la fenêtre :
– " Il est 2h20, Monsieur ! "