A la plage !

Par un bel après-midi d'été, je décide de me rendre à la plage voisine, pour me baigner. Je me dévêts, et m'aperçois que j'ai oublié mon maillot de bain.
- « Qu'importe », me dit-je, « la plage est déserte allons y tout nu ».

Je dépose mes vêtements sur un petit rocher existant sur cette plage. Un plongeon, je nage un certain temps, et décide de sortir de l’eau.

Entre-temps une jeune fille s'était installée près de mes vêtements et bouquinait tranquillement.

Je me dis gêné :
- « Comment vais-je sortir du bain ?
Je jette un regard autour de moi, et remarque une casserole qui traînait au fond de l'eau. Je saisis l'ustensile par la queue et masquant mes parties intimes, je m'approche de cette bouquineuse qui ne s'intéresse visiblement pas à moi. »

Arrivé derrière elle, je toussote et lui dit :
-« Vous lisez Mademoiselle ? »
- « Oui », me répond-elle..
- « Sans indiscrétion, que lisez-vous donc ? »
- « Le titre c'est : « L'ART DE LIRE LA PENSÉE DES GENS ».

Comme il ne lui restait que quelques pages à lire, je lui rétorque :
- « Donc vous pouvez me dire ce que je pense en ce moment précis !! »
- « Très certainement Monsieur; vous pensez que votre casserole à un fond, mais elle n'en a pas.. »

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Trois touristes : un Américain, un Français et un Belge sont prisonniers d'une tribu au fin fond de l'Amazonie. 
 

Le chef fixe le marché :
- « Chacun a droit à un vœu. S'il ne peut se réaliser, celui qui a émis le vœu aura la vie sauve. Si la tribu le réalise, ils mourront et leur peau sera utilisée pour faire un canoë !
 

L'Américain est interrogé le premier :
- « Je veux un hamburger ! »
 

Les Indiens partent et reviennent un quart d'heure plus tard
avec un hamburger. L'Américain est ensuite tué et sa peau est prélevée pour un canoë.
 

Vient le tour du Français :
- « Je veux une reproduction de la Tour Eiffel ! »
Les Indiens mettent un peu plus de temps... Mais une demi-heure après, ils brandissent une Tour Eiffel.
Le pauvre Français subit le même sort.
 

Le Belge, très énervé, émet son vœu : 
- « Je voudrais une fourchette, une fois ! »
Les Indiens lui apportent la fourchette. Le Belge s'en saisit, se pique tout le corps et leur hurle :
- « Regardez ce que j'en fais, moi, de votre canoë ! »