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Par ZAZA-RAMBETTE le 25 Août 2015 à 09:06
Angélina, Lina pour les intimes, tu viens de nous quitter brusquement dans l’année de tes 90 ans, et je souhaitais te dire à quel point tu vas manquer à tes filles, Catherine et Anne Marie, ainsi qu’à certains de tes petits enfants, qui te rendaient visite aussi souvent que possible. Je ne citerai pas de nom, ils se reconnaîtront.
Tu as toujours été une maman attentive, aimante, épouse et amante.
L’heure a sonné pour retrouver ton Jean-Baptiste avec qui tu es restée mariée 57 ans, et dont tu es tombée follement amoureuse à l’âge de 14 ans.
Tu portes aujourd’hui à l’annulaire gauche, la bague qu’il t’avait fabriquée dans une pièce trouée de 10 centimes, alors que tu n’étais qu'une adolescente.
Tu retrouveras aussi notre Pierrot, parti bien trop tôt en 1986.
Je suis certaine qu’à eux deux, ils sont encore capables de te faire des blagues et de te jouer des tours !
J’aurai tellement voulu que tu partes en toute sérénité en pouvant embrasser ta fille Catherine. Cela n’a pas été possible, je le déplore !
Ma petite Maman, toi qui fus ma priorité depuis le départ de papa, sache que tu resteras toujours dans mon cœur. Je porte tes gênes et ceux de mon père avec fierté.
Merci à vous deux, mes parents.
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