Cancale

 
(Cinquième partie)

 
Ses curiosités

L'église de Cancale

Naissance de l’église de Cancale

 L'église était devenue trop petite. L'abbé Grégoire, curé de Cancale de 1867 à 1885 voulut une église vaste. Elle sera érigée à l'emplacement actuel.

 L’histoire de l’église

 Le 17 août 1875, la première pierre est posée par Monseigneur de la Malandière, évêque de Vincennes (USA) et ancien vicaire de Cancale en 1825 et 1826.

 Le lundi 19 avril 1885, Monseigneur Place, archevêque de Rennes bénit l'église.

 En 1906, elle fut incendiée.

 L'église de Cancale après l'incendie du 2 septembre1906

 L'abbé David est le nouveau curé de Cancale.

 Des transferts ont lieu de l'ancienne église dans la nouvelle, des vases sacrés et des saintes reliques. On peut admirer le maître-autel, son bas-relief, les statues de saint Méen et de saint Malo et la scène du calvaire, ouvres de J. Valet de Nantes.

 Cette église a une histoire qui va jusqu'en 1999 date de la mise en place de la 4ème cloche coulée à Villedieu les Poêles.

Je vous invite, si vous ne connaissez pas, à vous rendre dans cette jolie ville qu'est Cancale, et de la visiter 

Extérieur

Intérieur

  Fontaine « Les laveuses d'huîtres »

A Cancale connu pour sa culture ostréicole d'huîtres creuses et plates et qui en font la renommée, une statue rend hommage à ces femmes qui lavaient les huîtres avant la mécanisation.

Elle se situe devant l'église St Méen, place de la République.

 Les Cancalaises du début du XX° siècle sont réputées pour être des travailleuses courageuses.

Leurs maris, pêcheurs, souvent terre-neuvas, partaient en effet pour de longs mois en mer, et leur laissaient la gestion des ventes de leur pêche.

 Ce bronze du sculpteur Jean Fréour traite du travail de ces femmes de marée employées aux huîtres.

Remarquons qu'il n'est pas commun de rencontrer une sculpture qui représente des femmes au travail.

FIN DE LA CINQIEME PARTIE