• Blagounette du lundi ... !!!

    Dans le désert !

    Blagounette du lundi ... !!!

    Deux jeunes hommes Jean et Paul se perdent dans le désert. Ils marchent pendant des heures et s’épuisent de soif et de fatigue.

    Alors qu’ils étaient sur le point de perdre complètement espoir et s’abandonner à leur sort, ils aperçoivent le minaret d’une petite mosquée…

    Ils accourent vers la mosquée, quand Jean dit à Paul :

    - « Ce sont des musulmans, je vais leur dire que je m’appelle Mohamed, ainsi ils vont bien s’occuper de moi. »

    Mais Paul n’est pas d’accord :

    - « Non, moi je dirai la vérité.  »

    L’imam de la mosquée les voit et s’approche d’eux :

    - « Bienvenus à mes frères. Que puis-je pour vous ? »

    Jean :

    - « S’il vous plait, aidez-nous. Nous avons soif et faim, ça fait longtemps qu’on marche dans le désert. » Il hésite un peu mais il continue : « Je m’appelle Mohamed » et il pince son ami Paul.

    Paul :

    - « Moi, je m’appelle Paul » en jetant un regard coléreux à Jean.

    L’imam :

    - « Entrez, entrez et mettez-vous à l’ombre. »

    Puis il s’absente un moment et revient avec un plateau de dattes fraîches, de l’eau, du lait et du pain puis leur dit :

    - « Voilà pour Paul, quant à toi Mohamed, apparemment la chaleur t’as fait oublier que c’est le mois de Ramadan. Alors un peu de patience, il ne reste que quelques heures avant le coucher de soleil ! »

    ********************************************************

    L’accident de travail !

    Blagounette du lundi ... !!!

    Monsieur le Médecin Conseil,

    Je vous écris en réponse à la demande d’informations complémentaires concernant mon accident de travail du 8 novembre dernier.

    J’ai précisé : « manque de chance » dans la case réservée aux « causes du sinistre » et vous me demandez des précisions.

    Je suis couvreur de formation.

    Le jour de l’accident, je travaillais seul sur le toit d’un chantier d'immeubles et de pavillons. Une fois le travail terminé, cet après-midi-là, j’ai constaté qu’il restait environ 280 tuiles, ce qui représente un poids de près de 120 kg. Plutôt que de descendre les tuiles à la main, j’ai décidé de les placer dans la caisse sur un monte-charge manuel qui fonctionnait grâce à une poulie fixée au faîtage du toit.

    J’ai donc chargé les tuiles dans la caisse sur le monte-charge au niveau du toit et suis redescendu au bas du chantier pour procéder à la descente du chargement. Je tenais fermement la corde pour assurer la sécurité de cette manœuvre. Comme vous le noterez dans mon fichier médical ci-joint, mon poids est actuellement de 68 kg.

    Dès que le monte-charge s’est retrouvé suspendu en l’air, j’ai été irrésistiblement attiré vers le haut et, je le reconnais, n’ai pas eu la présence d’esprit de lâcher la corde.

    J’ai donc progressé à grande vitesse vers le haut de l’immeuble et, au niveau du troisième étage, j’ai rencontré le monte-charge qui, lui, progressait à la même vitesse en sens inverse. Cela explique la fracture du crâne que je vous ai mentionnée dans mon courrier précèdent.

    Mon ascension s’est toutefois ralentie au niveau du 6e étage et s’est arrêtée lorsque mon index et mon majeur se sont retrouvés coincés dans la poulie.

    Cela détaille les nombreuses fractures de ma main droite que j’avais mentionnées. Suspendu en l’air et malgré la douleur intense, je n’ai pas lâché prise.

    Mais au même moment, le monte-charge percuta le sol à vive allure, ce qui brisa net le fond de la caisse. Toutes les briques éclatèrent et se répandirent sur le sol. Le monte-charge endommagé pesait à présent environ 20 kg, si bien que, comme je tenais toujours fermement la corde, j’ai commencé une rapide descente vers le bas.

    Au niveau du troisième étage, comme vous l’imaginez, j’ai rencontré le monte-charge à très grande vitesse, ce qui explique les quatre dents cassées et les deux côtes enfoncées que je vous ai reportées précédemment. Cette percussion du monte-charge a toutefois ralenti quelque peu ma descente si bien que mon atterrissage sur le tas de tuiles brisées ne m’a causé qu’une simple fracture du genou.

    Le fait que je ne mentionne nulle part dans ce rapport la cause exacte de l’enfoncement de la cage thoracique que j’ai pourtant déclaré dans ma lettre précédente ne vous aura sans doute pas échappé.

    J’ai en effet le regret de vous informer que me retrouvant ainsi étendu sur un tas de tuiles brisées avec de multiples fractures, je n’ai pas eu la présence d’esprit de tenir la corde quelques secondes de plus.

    J’étais donc dans l’incapacité totale de bouger lorsque le monte-charge de 20 kg a entamé sa rapide re-descente…

    Très cordialement.

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  • Commentaires

    14
    Lundi 13 Octobre 2014 à 23:00

    J'adore la première... pour la seconde, je me suis demandée si l'employé la lirait jusqu'au bout.

    Mais elle est extra.

    Bisous et douce soirée.

    13
    Lundi 13 Octobre 2014 à 20:13

    Figure-toi que demain, notre couvreur vient pour la toiture !!! si, si..... Bon, je stresse complètement, et je vais passer la journée dans la cour, peut-être, faut-il que je fasse également venir les pompiers !!!! Affaire à suivre, je te tiens au courant. Bises. FRANCOISE

    12
    Lundi 13 Octobre 2014 à 19:27

    Je connaissais celle du monte-charge, mais je la trouve toujours drôle. Ce qui de ma part dénote une certaine cruauté. bad

    11
    Lundi 13 Octobre 2014 à 18:04
    Josette

    pauvre couvreur... s'il avait connu le RSA ! 

    10
    Lundi 13 Octobre 2014 à 17:56

    une bonne semaine

    9
    Lundi 13 Octobre 2014 à 17:26

    Hi hi, j'ai bien aimé la première ... voilà, fallait pas mentir, non médéfois !

    Belle soirée ma Zaza et mille bisous

    Annick

    8
    Lundi 13 Octobre 2014 à 14:29

    bonne journée bisous

    7
    Lundi 13 Octobre 2014 à 12:42

    La première est très instructive.. tel est pris qui croyait prendre.

    La seconde donne une idée du parcours du combattant d'un salarié victime d'un accident gravissime du travail....ça laisse songeur...

    Bisous Zaza et bonne journée

    6
    Lundi 13 Octobre 2014 à 11:18

    ah ma pause humour !!! merci à toi de me faire  lol lo llol  hi hi hi  hi hi   bonne journée  a+

    5
    Lundi 13 Octobre 2014 à 09:15

    Merci à Jean L'Anselme (poète con) pour ce ready made qui est devenu très célèbre. Sur scène c'est quelque chose je t'assure. @ bientôt.

    4
    Lundi 13 Octobre 2014 à 09:11

    Pouaffff ! Zaza ! merci doux lundi avec des bisous !

     

    3
    geo
    Lundi 13 Octobre 2014 à 08:34
    geo

    dangereux ce métier de couvreur

    bisous

    2
    Lundi 13 Octobre 2014 à 08:17

    Les deux me plaisent ! bon lundi Gros bisous !

    Rozy

    1
    Lundi 13 Octobre 2014 à 06:52

    L'accident du couvreur, un must, 12/6

    Gros bisous ma Zaza

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