Case prison… !!!!
Deux très vieux amis, Maurice et René, se retrouvent tous les jours sur un banc du jardin public pour donner à manger aux pigeons, observer les écureuils et discuter des problèmes du monde.
Mais un jour, Maurice n'est pas là. René ne s'inquiète pas tout de suite, il pense à un rhume ou quelque chose comme ça.
Seulement, au bout d'une semaine, toujours pas de Maurice.
Et impossible d'aller vérifier chez lui s’il est en bonne santé car René et Maurice ne savent même pas où l'un et l'autre habitent !
Un mois passe, et alors que René s'était déjà fait à l'idée que son vieux compagnon avait
passé l'arme à gauche, Maurice fait sa réapparition !
- « Ah! Comme je suis heureux de te revoir vieux grigou. Mais enfin Maurice, vas-tu
me dire ce que tu faisais pendant tout ce temps. J'étais inquiet pour toi ! »
Maurice lui répond en souriant :
- « J'étais en prison. »
- « En prison ?! Tu rigoles », s'écrie René.
- « Si, si. Écoute, tu connais Jocelyne, la serveuse du café au coin de la rue
? »
- « Oui, bien sûr. Eh bien, quel rapport avec toi et la prison
? »
- « Eh bien, un beau jour, elle est aller déposer plainte pour viol au commissariat
de police ! Elle m'accusait d'avoir abusé d'elle, tu te rends compte ! Alors moi, j'étais tellement fier qu'au tribunal, j'ai reconnu les faits, et là, le juge a dit que je me foutais de sa
gueule et m'a infligé trente jours de prison pour outrage à magistrat ! »
Ah la voisine… !!!!
Depuis que sa femme vient de dépasser les huit mois de grossesse, un pauvre mari se trouve condamné à dormir sur le canapé.
Ce soir, alors qu'il s'apprête une fois de plus à passer une mauvaise nuit, sa femme le regarde d'un air compatissant.
Elle comprend qu'il n'est qu'un homme, et qu'il a des besoins qu'elle n'a plus la possibilité de satisfaire.
Aussi, dans un élan de bonté, elle va chercher 100 € dans son portefeuille et le donne à
son époux :
- « Mon pauvre chéri », lui dit-elle, à cause de moi, tu dors mal et en plus, je
ne peux plus t'offrir ce qui te fait tant plaisir. Tiens, prends cet argent et va voir la voisine. Elle sera d'accord pour coucher avec toi... Souviens-toi simplement que ça sera la seule et
unique fois, d'accord ? Je fais ça pour toi, uniquement parce que je t'aime ! »
Le mari n'en croit pas ses oreilles.
Il prend vite l'argent de peur que son épouse ne change d'avis et s'en va chez la voisine.
Quelques minutes plus tard, il est déjà de retour, le visage empreint de déception.
Il tend les billets à sa femme et explique :
- « Elle a dit que ce n'était pas assez. Elle veut 150 €. »
A ce moment là, son épouse se met en colère :
- « Ah la garce ! Quand elle était enceinte et que son mari est venu ici, je ne lui ai demandé que 100 €... »