Samedi 15 mars 2014.
Le soleil semble de la partie dans la matinée.
Après la sacro-sainte partie de scrabble avec ma maman après le déjeuner, j'ai chaussé mes chaussures de marche, et munie de mon bâton de vieillesse, de l'APN et du portable, (on ne sait jamais), je sois partie me promener du côté de Pors ar Raouenn, le fameux cordon de galets qui a cédé lors de la tempête Nadja (31 janvier et 1er février 2014).
Le cordon de Pors ar Raouenn protégeant le marais après Nadja
Le marais après Nadja
Mais je vous en parlerais plus précisément un peu plus tard.
En rentrant de ma balade, introspection du jardin de maman, des plantations brûlées par le sel des dernières tempêtes,
Mais aussi un souffle de printemps pour les hortensias à l'abri des vents dominants !
Ceux qui démarrent malgré les vents dominants
Les pourpiers vivaces
Ce que j'appelle des ananas de mer, il là du boulot pour dédoubler les plans et les repiquer. Cela pousse comme du chiendent et prolifère dans le terrain sablonneux !
Par contre je n'ai pu m'empêcher d'aller voir comment évoluaient les échalotes de mon copain NONO en contre bas de la propriété.
Les premières plantations. Vous vous souvenez.
Maintenant
Les dernières à 15 jours d'intervalle. Vous vous souvenez !
Maintenant ça pousse !
Par contre l'ami NONO me disait qu'il avait pris du retard sur ses plantations par rapport à l'année dernière ... !
4 hectares, une paille .... !!!!