Très déçue de la faible participation
des bretons à cette manifestation
Rennes était pratiquement inexistant
et j'ai décidé d'aller rejoindre la manifestation de Nantes.
Il faut dire que Rennes avait vécu un rassemblement
organisé par Facebook pour un apéro géant.
Triste image de marque pour la jeunesse bretonne
« Organisées pour s’opposer à la politique du Président de la République. Cette initiative intitulée « No Sarkozy Day », qui a lieu dans plusieurs villes de France aujourd’hui, est inspirée du No Berlusconi day, qui s’est tenu à Rome en décembre dernier.
Si le groupe sur Facebook rassemblait samedi dans l'après-midi 388 034 membres, l'objectif de 100 000 personnes réellement descendues dans la rue n'était pas atteint. Ils étaient 400 à Marseille, 300 à Grenoble et Saint-Brieuc, 300 à Nantes, 40 à la Roche-sur-Yon, Bordeaux, Ajaccio, quelques dizaines à Lille, Strasbourg Toulouse, 20 à Angoulême et 15 au Mans, toujours dans des ambiances bon enfant.
Nantes. Au plus gros du rassemblement, ils étaient 300 dans les rues de Nantes cet après-midi à manifester contre Nicolas Sarkozy.
La manifestation, qui a débuté à 14 h 30, s’est étirée dans toute la ville et tout l’après-midi. À 17 h 45, une vingtaine de manifestants tentaient de bloquer le tramway au niveau de Commerce.
Vannes n'a pas fait exception à la faible mobilisation à l'échelle du pays. Le No Sarkozy Day, appel à manifester pour s’opposer à la politique du Président de la République, n'a rassemblé qu'une trentaine de manifestants en milieu d'après-midi dans les rues du centre historique de Vannes.
Cette initiative qui a eu lieu dans plusieurs villes de France aujourd’hui est inspirée du No Berlusconi day, qui s’est tenu à Rome en décembre dernier.
La Roche-sur-Yon. « La France, c’est pas Neuilly » dit la banderole. Cet après-midi, au centre de La Roche-sur-Yon, ils étaient une quarantaine à manifester leur mécontentement vis-à-vis de la politique menée par le chef de l’Etat. Mouvement né sur le réseau social Facebook, la journée sobrement intitulée le No Sarkozy day s’est répétée un peu partout en France.
Elle avait valeur de test pour les organisateurs, dans un département « réputé de droite ». Encadré par des policiers, le mouvement citoyen s’est déplacé de la place Napoléon vers la rue Georges-Clemenceau, et la place du Théâtre.
Dans l'Orne. A l’occasion de ce « No Sarko day », plusieurs pancartes en appui sur des panneaux de signalisation indiquant la présence d’un radar fixe signale que « 90 euros = 360 l de lait ». Ce fut le cas sur la départementale 438, entre Mortrée et Sées (axe Argentan - Alençon), sur la Nationale 12 au Ménil-Brout, sur la rocade d'Argentan devant le cimetière, ou encore sur la RD 916 (axe Trun - Argentan) à Bailleul. Les radars, eux, ont été recouverts d’un sac en plastique."
Source Ouest France du 28/03/2010