Contrôle de police !
Un gendarme en moto arrête un gars pour excès de vitesse manifeste :
- " Monsieur, pourrais-je voir votre permis de conduire, s’il-vous-plaît ? "
- " Je n’en ai plus. On me l’a retiré il y a des mois après cinq infractions graves. "
- " Puis-je voir les papiers du véhicule? "
- " Je ne sais pas. Ce n’est pas ma voiture, je l’ai volée. "
- " Ce véhicule est volé ?? "
- " C’est exact. Mais maintenant que j’y pense, j’ai cru voir des papiers dans la boîte à gants, quand j’y ai rangé mon revolver. "
- " Il y a un revolver dans la boîte à gants ??? "
- " Oui, Monsieur. C’est là que je l’ai mis quand j’ai tué cette femme et pris sa voiture. "
- " Vous… vous avez tué la propriétaire de cette voiture ?? "
- " Oui, Monsieur. Le cadavre est d’ailleurs encore dans le coffre. "
- " Le… le cadavre est dans… le coffre ??!! "
- " Oui, Monsieur. "
Le gendarme recule de deux pas, empoigne sa radio et appelle des secours, qui arrivent vite fait, encerclant la voiture.
Un officier s’approche du conducteur :
- " Puis-je voir vos papiers, Monsieur ? "
- " Voici."
Les papiers sont en ordre.
- " Puis-je voir les papiers du véhicule ? "
Le conducteur ouvre la boîte à gants, les dix tireurs d’élite entourant la voiture, épaulent. Le conducteur sort les papiers. Il est bien le propriétaire de la voiture. L’officier, jetant un œil dans la boîte :
- " Vous n’avez pas d’arme ? "
- " Non, Monsieur. "
- " Voulez-vous sortir de votre voiture, sans mouvement brusque, et ouvrir votre coffre ? "
Le conducteur sort. Ouvre le coffre. Qui est vide, évidemment.
L’officier :
- " Je ne comprends pas, Monsieur, il m’a été rapporté que vous conduisiez, sans papiers, cette voiture volée après avoir tué sa passagère au moyen d’une arme cachée dans la boîte à gants, et dont le corps se trouvait dans le coffre… "
- " Et je suppose que le type qui vous a raconté cela vous a dit aussi que je roulais trop vite… "
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Les débuts d'un prêtre au confessionnal !
Un jeune prêtre nouvellement ordonné vient d’être nommé dans une paroisse de campagne.
Le jour de la confession il dit au curé :
- " Je n’en ai aucune expérience, je ne sais pas très bien quelle pénitence donner selon les cas. "
- " Ce n’est pas grave ", dit le curé. " Mettez-vous de l’autre côté, vous m’entendrez confesser. "
Une seconde pénitente s’accuse elle aussi d’avoir trompé son mari trois fois.
- " Vous direz cinq « Je vous salue Marie » et vous mettrez dix euros dans le tronc de la Sainte Vierge. "
Après quoi il sort du confessionnal et dit au jeune prêtre de prendre sa place.
Une nouvelle pénitente s’agenouille de l’autre côté de la grille.
- " Mon père, je m’accuse d’avoir trompé mon mari… "
- " Combien de fois ? "
- " Deux fois. "
- " Alors vous pouvez recommencer, parce qu’aujourd’hui pour dix euros vous avez droit à trois fois… "