Lanhélin, ses origines, son histoire, ses curiosités

11.03.2012

Lanhelin

Son patrimoine (suite)

Inscription, Les Noes à Lanhélin

Insérée dans la façade d'une maison à porte cintrée datant environ de 1600 cette inscription semble indiquer la limite entre les paroisses de Lanhélin et de Meillac : « Devission de Lahelen-Mellac, 1568 ».

Le problème des limites paroissiales de Lanhélin semble récurrent. En effet, en 1853, certains villages des communes de Saint-Pierre-de-Plesguen, Meillac et Bonnemain sont rattachés au territoire spirituel de Lanhélin à défaut de l'être administrativement comme le demandent les édiles de Lanhélin.

Pierre gravée, Les cours d’Abas à Lanhélin

Ces attributs sont ceux du forgeron P. Cebriac. Ils datent des XVI et XVIIème siècles.

Le nombre des inscriptions encore visibles sur les linteaux de porte, les pierres tombales traduisent la persistance du métier de « picotou », piqueur de pierre, au cours des années.

Égouttoir de vaisselier, La Touche-Iris à Lanhélin

Il date du XVIème siècle. Intégré directement dans le mur d'une grange, ancienne maison d'habitation, l'égouttoir est un élément devenu rare. Très peu subsistent dans le canton, la plupart ont été détruits.

Puits oblong, Le Boishue à Lanhélin

Il reste peu de chose du manoir du Boishue, si ce n'est ce puits oblong à deux orifices.

Vestiges du manoir de Boishue

La noble demeure, longtemps propriété des Guéhenneuc, comprend également au XVII^ème siècle des écuries, des métairies, un colombier ainsi qu'une chapelle reconstruite en 1742. Au début du XXème siècle les ruines conservent encore une tourelle en encorbellement.

Les coudrets

Croix des chemins des coudrets datant de 1735