Vengeance … !!!
C'est un gars un peu con qui veut faire une petite blague à sa femme.
Alors qu'elle est en train de prendre sa
douche, il arrive sans bruit derrière elle et lui attrape les seins en disant :
- "Si ils étaient un peu plus fermes, tu n'aurais pas besoin d'acheter de soutien-gorge."
Le lendemain, une fois de plus il lui fait une blague en arrivant derrière elle et en lui mettant les deux mains sur le cul, puis en disant :
- "Si elles étaient un peu plus fermes, tu n'aurais pas besoin de mettre une gaine."
La femme ne dit rien mais pense alors à sa revanche...
Le lendemain, comme le mari sort de la
douche, sa femme lui attrape le sexe et lui dit :
- "Si elle était un peu plus ferme, je n'aurais pas besoin de coucher avec ton frère."
Quel boulet … !!!
Je réponds à votre lettre dans laquelle vous me demandez les détails concernant ma déclaration d'accident de travail qui a eu lieu parce que je travaillais seul.
Je suis maçon comme vous savez.
Le jour de l'accident, je travaillais au 5eme étage d'un bâtiment.
Au moment de débaucher, il restait environ 250 kg de briques, qui devraient être redescendues.
Plutôt que de les descendre à la main par la cage d'escalier, j'ai employé la poulie à laquelle j'avais accroché un grand bac.
La poulie était fixée au 6eme étage.
Je suis descendu pour fixer la corde au sol, puis je suis remonté et j'ai rempli le bac de briques. Ensuite, je suis redescendu, et j'ai défait la corde prudemment pour que la charge de 250 kg
descende doucement.
Je pèse 67 kilos. A mon grand étonnement je fus soulevé par un choc violent.
Je n'ai pas eu la présence d'esprit de lâcher la corde. Inutile de préciser que mon ascension fut foudroyante.
Vers le 3ème étage je rencontrais le bac de plein fouet, ce qui explique ma blessure au crane et la clavicule cassée.
J'ai continué à m'élever à toute vitesse jusqu'au moment où le bac a touché le sol.
Par le choc, le fond du bac se détacha et sans briques celui-ci ne pèse plus que 25 kg.
Comme je suis beaucoup plus lourd, je suis redescendu à vive allure.
Vers le 3ème étage je rencontrai à nouveau le bac qui remontait en sens inverse, ce qui explique les dégâts au bas du ventre et la cheville fracturée.
Cet incident à mi-parcours eut pour effet de freiner légèrement ma course, grâce à quoi je ne me suis cassé que deux vertèbres en tombant sur le tas de briques.
Malheureusement, je dois ajouter que lorsque je me retrouvais couché sur les briques, immobilisé par la douleur, je n'ai pas eu la présence d'esprit de tenir la corde.
L'ayant lâchée, le bac, amorça une nouvelle descente à grande vitesse et tomba sur mes jambes. J'ai donc celles-ci de cassées aussi.
J'espère vous avoir suffisamment éclairé sur les détails de l'accident et j'attends respectueusement votre réaction.