Laveurs de carreaux belges
Ce sont deux laveurs de carreaux belges en plein travail sur un immeuble de 40 étages.
Ils montent, ils montent, ils montent... et arrivés au 20ème, ils se rendent compte qu'ils
ont oublié une vitre au 18ème !
L'un des deux dit à l'autre :
- « Ne t'en fait pas, je vais t'accrocher à mes bretelles, et tu vas pouvoir
descendre faire cette vitre ! »
Sur ce, il harnache son collègue et l'autre commence à nettoyer.
Et là, celui qui nettoie se met à éclater de rire, il se pisse dessus tellement il se marre.
Le deuxième, vexé, lui demande ce qu'il y a de si marrant et l'autre répond
:
- « Si tes bretelles pètent, tu te les prends en pleine tronche
!
De la suite dans les idées…. !!!!!
Un soir, alors qu'un couple se couche, le mari commence à caresser le bras de sa femme.
Elle se retourne et lui dis:
- « Je suis désolé chéri, j'ai un rendez-vous chez le gynécologue demain et je veux rester 'fraîche'. »
Le mari déçu se retourne.
Je peux jouer à la poupée
Quelques minutes plus tard, il se tourne de nouveau vers sa
femme.
- « Est-ce que tu as aussi un rendez-vous chez le dentiste
demain? »
Tout commence pendant la seconde guerre mondiale, dans une ville complètement détruite par les bombardements.
La nuit tombée, un soldat se promène dans les rues de la ville à la recherche d'un abri, quand il entendit des pleurs.
C'est là qu'il découvre une petite fille perdue au milieu des ruines.
Le soldat comprit vite qu'elle avait perdu ses parents dans le
bombardement.
- « Viens avec moi ! » lui dit-il, et la fille se leva et suivit le soldat sans
dire un mot.
Ils marchèrent ensemble jusqu'a un abri où passer la nuit. Le soldat essaie de parler à la
fille, mais elle ne dit pas un mot.
Il s'approcha d'un mur et baissa son pantalon pour faire pipi, une fois le pantalon sur
les chevilles il voie la fille s'approcher et elle lui dit,
-« C'est quoi ça ? » (en montrant le sexe du soldat)
Le soldat gêné essaie de la cacher et l'envoie paître, mais elle insiste. Il lui dit que
c'est une poupée, mais que c'est la sienne.
Elle lui demande :
- « Je peux jouer avec ? »
- « Hors de question ! » lui dit-il.
- « Aller soit gentil, laisse-moi jouer avec. »
Le soldat regarde autour de lui, ne voie personne, et se dit que de toute façon, personne
ne regarde alors pourquoi pas. (En période de guerre, les temps sont durent … !!!), et il laissa la fille jouer avec, quand peu de temps après il se mit à pousser un hurlement de
douleur.
- « Qu'as-tu fait? » lui demande t-il tout énervé.
- « Ben j'ai joué avec ta poupée, je m'amusais à l'habiller, la déshabiller,
l'habiller, la déshabiller et elle m'a crachée à la figure alors je lui ai tordue le coup ! »