Avec ta disparition, nous sommes
toutes, et tous très tristes.
Tel un ange tu viens de rejoindre
nos chers disparus et nos grands talents.
Tu as bercé mon enfance dans les années 61 avec les aventures de Poly, relayés par la bibliothèque rose et dont j’ai conservé l’intégrale.
Je transmettrai religieusement cette collection à mes petits enfants
quand ils seront en âge de lire.
Ensuite, il y eu Belle et Sébastien, dans les années 65 ,
et ses merveilleuses aventures.
Là aussi, je pensais souvent, dans des moments de révolte enfantine à aller rejoindre César qui vivait en toute liberté dans ces si belles montagnes.
Plus tard il y eu l’oiseau .
Merci Cécile pour m’avoir tant fait rêver