• Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    Réalité, rêve ou cauchemar ?

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    Certains et certaines se demandent si je n'ai pas perdu le fil de cette nouvelle écrite il y a quelques années. Eh bien non, pas du tout ! L'histoire n'est pas banale et complètement surréaliste. Le nombre de personnages clef se multiplient et pourtant, quand vous arriverez au dernier chapitre, vous allez dire comme notre ami le commissaire Bourrel, "Bon dieu, mais c'est bien sûr ....!"

        - Septième partie -

    Je décidais de commencer mes recherches par les archives de l’éducation nationale de Rennes.

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    Et soudain, au cours de mes recherches, je ne me rendis compte que je ne connaissais même pas son nom de famille, tout ce que je savais de lui, son prénom John, qu’il était venu sur mon île avec un groupe d’étudiants irlandais en juin 1974 et que je l’aime à la folie, avouez que c’est bien mince.

    Il était donc plus sage de commencer mes recherches dans l'établissement même qui avait organisé cet échange culturel en juin 1974.

    Me voici donc au 2 rue Cadiou à Saint Pol de Léon, devant le lycée Notre Dame du Kreisker.

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    Il n’avait pas beaucoup changé, mis à part que je ne connaissais pas la personne du secrétariat.

    La mère Michèle avait dû prendre sa retraite depuis bien longtemps, on l’avait surnommée ainsi parce que c’était une vieille fille qui faute d’avoir la photo de ses enfants sur son bureau avait mis celle de son chat.

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    - « Bonjour madame. » dis-je en présentant ma carte.

    - « Bonjour mademoiselle ... ZAZA. » répondit-elle en lisant mon nom sur la carte.

    - « Je suis une ancienne étudiante de cet établissement en 1974, et j’aurais aimé consulter les archives si possible. »

    - « Voilà une requête bien singulière. »

    - « Je vais vous expliquer, je voudrais contacter mes anciens camarades afin d’organiser une soirée de retrouvailles, cependant je les ai pour la plupart perdus de vue et j’espère les retrouver à partir des adresses qu’on données leurs parents à l’époque. »

    - « Je pense que vous devriez demander l’autorisation à Mme Rascoët, c’est la directrice. »

    - « Bien sûr, loin de moi l’idée de me passer de son accord. Est-elle là ? »

    - « Oui, mais elle n’est pas dans son bureau pour l’instant, Il vous faudra patienter quelques instants, elle est sortie. »

    - « Cela fait longtemps que vous travaillez ici ? »

    - « Six ans environ. »

    - « Vous avez connu la personne qui occupait le poste avant vous ? »

    - « Marion Le Gall, oui elle m’a formée la première année. »

    - « Vous avez donc connu la mère Michèle ! »

    - « Non, mais son surnom remonte certainement bien avant mon arrivée. Les plus anciens l’appelaient déjà ainsi, je crois qu’elle a dû le porter toute sa vie. »

    Mme Rascoët venait d’entrer dans la pièce, c’était une femme d’allure sévère au ton austère.

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    Si elle avait été actrice, tous les réalisateurs lui auraient confié un rôle de gouvernante, sauf dans Mary Poppins peut-être. Elle m’adressa la parole d’un ton sec et autoritaire :

    - « Qu’est-ce que vous voulez ? »

    - « J’expliquais à votre charmante secrétaire que je suis une ancienne étudiante dans votre établissement en 1974 et... »

    - « Je ne crois pas vous connaître, vous ne faites pas partie de l’amicale des anciens ? » me dit-elle en me coupant la parole.

    - « Non, mais... »

    - « J’en étais sûre. »

    - « Je vous disais donc que je suis une ancienne étudiante de l’établissement pendant l'année 1974... »

    - « Mademoiselle, mon temps est précieux venez en au fait. »

    - « Je voudrais savoir si vous voudriez bien avoir la gentillesse de m’autoriser à consulter les archives de l’établissement ? »

    - « Et pourquoi donc ? »

    - « J’aimerais retrouver d’anciens camarades que j’ai perdu de vue. »

    - « La belle affaire, si vous aviez fait partie de l’amicale des anciens élèves votre tâche serait plus aisée, ne croyez-vous pas ? »

    - « Assurément madame, assurément, cependant c’est très important à mes yeux. »

    - « Je dois me rendre au rectorat pour une histoire de dossier égaré. Je n’ai malheureusement pas de temps à vous consacrer, je regrette mademoiselle. »

    L’amour de John est trop important pour que je permette à cette bonne femme de me claquer la porte au nez. Je me fis de plus en plus mielleuse.

    - « Je ne souhaitais pas vous déranger madame, j’ai conscience que votre temps est très précieux et je me doutais bien que vous aviez fort à faire, je m’étais juste dit que peut-être que votre secrétaire aurait pu m’aider. »

    - « L'année 1974 me dites-vous, très bien voyez cela avec Nathalie, elle vous assistera aussi bien que moi soyez en certaine. »

    - « Je vous crois sur parole, madame. » lui répondis-je machinalement d’un ton qui en disait long sur ce que je pensais d’elle.

    Elle me lança un regard de sorcière avant de sortir de la pièce sans dire un mot de plus. Elle n’était pas le genre de femme à revenir sur sa décision.

    - « Vous ne devez pas vous amuser tous les jours. » dis-je après un court instant à la jolie Nathalie.

    - « Ne croyez pas cela, la plupart du temps c’est une personne très agréable. »

    - « Alors, il faut croire que je ne suis pas tombée le bon jour. »

    - « Restez là, je vais vous chercher les documents que vous voulez, je n’en aurai que pour quelques minutes. L'année 1974 avez-vous dit ?

    - « Effectivement Nathalie. J’ai un rendez-vous en fin de matinée que je ne peux manquer. »

    J’étais en train de consulter une page de ma vie, je revoyais les photos de mes anciens compagnons d’étude :

    • Pierre-Yves et Isabelle les faux jumeaux,
    • Claudic,
    • Ellen,
    • Vincent. 

    Je les avais tous perdus de vue, les clichés

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    faisaient resurgir quelques anecdotes de cette année-là.

    Je souriais en pensant qu’un beau matin un oiseau était rentré dans la salle pendant la pause. Marco avait réussi à l’attraper et à l’enfermer dans le sac de Juju, à moins que ce ne soit Vincent. Je ne sais plus bien. En tout cas, quel fou rire j’ai eu ce jour-là quand Juju a ouvert son sac quelques minutes plus tard.

    Je consultais les dossiers de l’année, il y avait tout :

    • les noms,
    • les adresses,
    • les résultats scolaires
    • et même les heures de colles.

    Je ne me souvenais pas en avoir collectionné autant. Oui il y avait vraiment tout, sauf quelque chose se rapportant de près ou de loin à la visite de correspondants irlandais.

    Je pris à tout hasard les coordonnées de quelques anciens qu’il ne m’aurait pas déplu de revoir. Et je m’en allais non sans avoir remercié Nathalie de sa précieuse collaboration.

    Cet établissement était une vieille bâtisse assez froide avec ses plafonds à 3 mètres.

    Soudain, je n’en crus pas mes yeux, je voyais la silhouette de John en train de marcher tranquillement à une cinquantaine de mètres plus loin, je l’aurais reconnue entre mille.

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    J’ai eu du mal à ouvrir la fenêtre, le bois avait dû travailler avec l’humidité. Quand j’y suis parvenue, il était déjà bien loin et pourtant j’étais sûre et certaine que c’était lui. Je me mis à crier

    - « John ! John ! » 

    La personne n’eut aucune réaction. 

    - « John ! John ! Attends » recommençais-je le plus fort possible. 

    Il se retourna, regarda dans plusieurs directions et repris sa route, aucun doute possible c’était bien lui.

    J’ai dévalé les marches quatre à quatre à la limite de la chute. Une fois sur le trottoir je courus à sa suite, arrivé à l’angle de la rue du Général Leclerc, je n’avais plus de souffle.

    Je crachais le paquet de cigarettes que je fumais tous les jours depuis l’anniversaire de mes 16 ans. Il avait disparu. 

    J’étais déçue, déçue mais contente car j’avais la réponse à ma question, c’était la fin de mes tourments :

    John n’est pas un rêve, il existe bien et en plus il se trouve en ce moment à Saint Pol de Léon. J’ai passé le restant de la journée à sillonner la ville, les vieux quartiers

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7) 

    la cathédrale,

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    en passant par le Kreisker.

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    J’ai visité tous les monuments qui attirent habituellement les touristes.

    Le soir j’ai fait le tour de tous les restaurants réputés pour leurs spécialités locales,

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

     

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    toutes les crêperies,

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    mais je ne l’ai pas retrouvé.

    La mort dans l’âme, je suis rentrée chez moi, bien décidée à reprendre mes recherches de bonne heure le lendemain en commençant par tous les hôtels de la ville.

    Éreintée, je me suis enfin couchée. J’étais loin de me douter que la nuit serait si longue ...

    ... Paris est une belle ville pour les amoureux, cependant j’étais plutôt mélancolique. Assis à la terrasse d’un café sur les Champs-Élysées,

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    j’attends John, il est en retard, la tasse de café est vide, il y a déjà 3 mégots dans le cendrier et comme je n’ai rien de mieux à faire que de regarder les passants déambuler, j’allume une autre cigarette, sans doute celle qui va le faire arriver.

    Soudain, je vois arriver vers moi mon pire cauchemar : Loïc Caroff.

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    Je l’attends patiemment, je sais qu’il n’y a rien à faire, je ne peux pas lui échapper. 

    - « Bonjour ZAZA, tu permets? » me dit-il en posant la main sur le dossier de la chaise en face de moi. 

    - « Si je vous disais non, m’écouteriez-vous » lui répondis-je d’une voix sans passion. 

    - « Que t’arrive-t-il ZAZA ? Tu ne sembles pas heureuse de me voir, je pensais que tu avais des tonnes de questions à me poser après notre entretien de l’autre jour. » 

    - « Désolée, mais je connais déjà les réponses à mes questions. » 

    - « Tiens, tiens, voyez-vous ça, tu m’étonnes ZAZA, je t’avais pris pour quelqu’un d’intelligent mais là, j’avoue que tu me surprends. Cependant tu es revenue me voir aujourd’hui à l’hôpital, j’ai senti ta présence, j’ai entendu ta voix. » 

    - « Arrêtez de raconter des bêtises, vous êtes un légume, vous ne ressentez rien du tout. » 

    - « Tu as encore beaucoup à apprendre ma petite ZAZA, renseigne-toi et tu apprendras que plusieurs chercheurs s’accordent à penser qu’un individu dans le coma entend et ressent les choses. » 

    - « Balivernes, allez-vous en. J’attends John d’une minute à l’autre et je n’ai pas envie qu’il vous trouve en ma compagnie. »

    - « Il ne viendra pas. » 

    - «  Qu’est-ce qui vous fait dire ça. » 

    - « Il rêve. » 

    - « Et alors ? » 

    - « Alors, il rêve. » 

    - « Je ne vois pas ce que ça change. » 

    - « Tu l’as croisé, il est dans ton monde. » 

    - « Arrêtez avec vos histoires, tout cela n’a ni queues, ni têtes. » 

    - « Je ne te mens pas regarde derrière toi. » 

    Je me suis retournée, nous étions dans la chambre d’hôtel de John.

    La lumière du jour éclaire à peine la pièce, il est allongé sur le lit toute habillé, les yeux ouverts.

    Réalité, rêve ou cauchemar ? - (7)

    Qu’il est beau ! Il sourit en rêvant. 

    - « Croyez-vous qu’il rêve de moi. » 

    - « Sûrement pas. » 

    - « Et pourquoi donc, je vous prie. » lançai-je d’un ton agressif. 

    - « C’est logique, quand il rêve, il est dans ton monde, s’il rêve de toi, tu es physiquement avec lui, donc tu ne dors pas, et si tu ne dors pas tu ne peux pas rêver que tu es ici avec moi, sauf s’il rêve qu’il te regarde dormir. » 

    - « Je n’y comprends plus rien, après tout que m’importe, ceci n’est qu’un cauchemar, j’ai une mauvaise nouvelle à vous apprendre, John existe et pas que dans mes rêves. Je l’ai vu. » 

    - « Tu as vu son image comme il peut voir la tienne, il t’a juste rejoint par le rêve. Qu’est-ce qu’il t’a dit ? » 

    - « Je n’ai pas pu lui parler, mais ça ne change rien je vais le retrouver et je vous oublierai. » 

    - « C’est lui qui va te retrouver, il te cherche peut-être mais n’a pas encore réussi à te rejoindre. » 

    - « Si ce que vous me dites est vrai, si j’accepte un instant de vous croire, que dois-je faire pour le rencontrer autrement que dans mes rêves ? » 

    - « C’est très simple, je te l’ai déjà dit, le rêve est la porte entre les deux mondes, quand tu rêves de lui tu cours le rejoindre. Si il rêve de toi, tu le retrouveras dans ton monde. » 

    - « Et si il ne rêve pas de moi ? » 

    - « Alors oublie le, car il ne sera jamais totalement à toi. Rencontre une personne de ton monde, fonde un foyer et ne pense plus à John. » 

    A demain pour le dénouement

     

    « Blagounettes du lundi ...!!!Blagounettes du mardi ! »

    Tags Tags : , , , , , , , ,
  • Commentaires

    32
    Mardi 6 Mai 2014 à 16:33

    et bien ce monsieur dans le coma n'est pas fait pour arranger les choses

    31
    Mardi 6 Mai 2014 à 00:20

    Je continue à me demander comment tu vas t'en sortir avec ces deux mondes parallèles... et j'adore la façon dont tu illustres ton récit. :)

    30
    Lundi 5 Mai 2014 à 23:20

    J'attends la suite avec impatience, comme tous les jours. Merci pour ces petits moments de lecture.

    http://sevy28.eklablog.com/

    29
    Lundi 5 Mai 2014 à 22:04

    ✿ 5 MAI

    j'espère que tu as passé un bon week-end.

    Ici c'est c'est toujours le printemps avant l'heure,

    avec du soleil et des températures

    bien trop douces pour la saison ...

    Bises et bonne soirée

    28
    Lundi 5 Mai 2014 à 21:54
    jeanine et rené

    eh bien tu nous tiens en haleine , bravo Zaza, merci pour cette belle histoire et les photos de St Pol de Leon , à bientôt, grosses bises

    27
    Lundi 5 Mai 2014 à 21:05
    josette

    tu es certaine que la photo date de 74 ?je lui donne 15 ans de plus vu les fringues...

    pas facile à suivre le raisonnement de ton comateux...mais j'ai bon espoir pour la conclusion.

    j'adore la directrice elle ma parait antipathique à souhait et la mère Michèle me plait bien qui connait les chats connait la vie.

    bonne soirée zaza

    26
    Lundi 5 Mai 2014 à 20:02

    pas facile cette histoire entre rêve et réalité de quoi perdre son latin et devenir folle

    bisous

    25
    Lundi 5 Mai 2014 à 19:41

    oh la la

    Zaza ne sauras où mettre la tête

    rêve ou réalité

    dur dur

    Bonne fin de journée
    Excellente semaine
    Bisous de la Martinique

    24
    Lundi 5 Mai 2014 à 19:34

    il va falloir que je trouve le temps de lire tous les articles que j'ai manqué ...bonne soirée Zaza yes

    23
    Lundi 5 Mai 2014 à 18:54

    coucou

    quand je ne suis pas au guilvinec , j'habite auxerre , toute ma famille y habite , c'est pour cela qu'on ne fait pas le saut définitif

    bisousssss

    22
    Lundi 5 Mai 2014 à 18:53

    Bonjour Zaza,

    J'ai raté le sixième épisode mais j'arrive quand même à suivre. C'est passionnant mais compliqué. Bises bien amicales.

    Henri.

    21
    Lundi 5 Mai 2014 à 18:47

     

    J'ai beaucoup aimé que ta vision de John débouche sur une visite de Saint-Pol de Léon. 
    A lire toutes les vicissitudes des rêveurs de ton histoire, je commence à me féliciter de ne jamais me souvenir de mes rêves et de ne pas y voir un "comateux" au physique d'Ariel Sharon...
    Joli personnage que celui de la Mère Michelle avec la photo d'un chat sur son bureau. Elle me semble avoir tout compris des relations humaines...

    Bonne soirée, bises Zaza, Marc de Metz. 

    Merci pour ton commentaire sous les nouvelles photos des façades de Metz.
    A bientôt.

    20
    Lundi 5 Mai 2014 à 17:42

    Bonjour Zaza,j'attends lé dénouement avec impatience, je suis sûre d'être même surprise  comme dans tous les histoires où il y a un suspens ! en tout cas çà se corse !!

    Gros bisous Rozy

    19
    Lundi 5 Mai 2014 à 17:11

    Bisous Zaza et salut à tout ton petit monde qui s'est encore agrandi de la Mère Michèle...

    Ben avec la Mère Michèle qui a perdu son chat, le vieil Ariel qui lave plus blanc, il ne manque plus que le père Lustucru en bonne pâte qu'il est pour t'aider à résoudre cette énigme mi-rêve - mi-réalité et de retrouver John et ainsi retrouver un sommeil léger au pays des étoiles...

    18
    Lundi 5 Mai 2014 à 15:22

    Bonjour Zaza,

    Tu nous fais languir Zaza ... Ariel Sharon s'est transformé en Loïc ;) ! Bonne journée, bises, Véronique

    17
    Lundi 5 Mai 2014 à 15:11

    coucou de magnifiques photos ,j'espère que tu vas bien,il vas faire très beau mais le vent est frais,j'espère que tu a passè un très bon week-end,je te souhaite un très bon lundi,bises

    16
    Lundi 5 Mai 2014 à 14:42

    C'est pire que la quête de Don Quichotte: vas-tu finir par le rencontrer le beau John ?

    De belles photos qui nous font visiter St Pol de Léon .

    Bises

    15
    Lundi 5 Mai 2014 à 11:00
    Voay
    Pfou je m'absente deux jours, et tu en profites pour en rajouter, fait te suivre, dis donc... A demain, donc !! Bises
    14
    Lundi 5 Mai 2014 à 09:47

    A demain pour la chute... Bisous Zaza et bonne journée

    13
    Lundi 5 Mai 2014 à 09:46

    Je m'essouffle à te suivre dans tes histoires rocambolesques..mais tu as ton auditoire comme on dit..alors, bonne continuation...j'espère que ta mère a fini par accepter de te suivre en Ille et Vilaine, ça lui changerait les idées, et comme ça, elle verrait d'autres horizons..pas facile de gérer les anciens, j'admire ta patience...grosses bises et bonne semaine

    12
    Lundi 5 Mai 2014 à 09:43

    Vivement demain ... ton récit est plein de suspense, j'adore, comme tu écris bien. Tu es agréable à lire et ton imagination est débordante ! J'apprécie aussi beaucoup les photos qui permettent une pause dans le récit, cela aussi est fort agréable.

    Bravo ma Zaza et à demain.

    Gros bisous

    11
    Lundi 5 Mai 2014 à 09:07

    j'espère que je ne rêve pas que je suis en train de lire money..gros bisous ma Zaza, a demain. cathy

    10
    Lundi 5 Mai 2014 à 09:07

    Bonjour Zaza désolée je ne peux pas te suivre mais tu as ton public ! gros bisous ! bon lundi !

    9
    Lundi 5 Mai 2014 à 08:50

    j'ai hâte d'être à demain;

    c'est passionnant jusqu'au bout;

    bon début de semaine, Zaza;

    8
    Lundi 5 Mai 2014 à 08:44

    Bon bon bon .... je plane à 10 000 ... 

    bisous

    7
    Lundi 5 Mai 2014 à 08:08
    claudine/canelle

    Vivement demain Zaza...

    Bonne journée à toi 

    Bisous

    6
    Lundi 5 Mai 2014 à 08:05
    JosephGuégan

    A demain.
    Qu'il est élégant ce clocher du kreisker !

    5
    Lundi 5 Mai 2014 à 07:59

    des petits soucis avec mon ordi ce matin, il rame....j'essaie de faire vite, passe une agréable journée

    4
    Lundi 5 Mai 2014 à 07:54
    loulou le filou

    Bonne journée, bon rêve !

    3
    Lundi 5 Mai 2014 à 07:41

    ....entre le rêve et la réalité....tu nous entraînes loin, très loin!

    Je vais fermer les yeux et me retrouver à St Pol de Léon, trop bien!

    Bonne journée, gros bisous de Mireille du Sablon

    2
    Lundi 5 Mai 2014 à 07:06

     bonjour

     quelle   énigme  ton histoire

     et en passant  les belles photos de  saint Pol de  léon

     superbe  la salle de  ( la pomme d  api )

     bon lundi

     j espére que cette journée   sera  comme celle de  hier  estivale

     bises

     kenavo Zaza

    1
    Lundi 5 Mai 2014 à 06:51
    FéeLaure   ♥

    Bon début de semaine Zaza

    Bisous

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :