• A ETRE DEGOUTE A VIE DE LOUER SES BIENS

    PAR AGENCE POUR REPONDRE

    AUX DEMANDES DE LOCATAIRES ...!

    J’ai une petite mésaventure à vous raconter, qui va me coûter très chère…!

    Touché par la crise comme beaucoup de monde, j’ai besoin de réaliser la vente d’un appartement acheté pour des besoins professionnels en région parisienne.

    Ayant vécu une longue maladie pendant 18 mois, la Sécurité Sociale a jugé bon de me passer en invalidité à 80%.

    Cet appartement ne me servant plus, je l’ai confié à une agence, en signant des mandats de location et de gestion.

    Aujourd’hui, je suis dans l’obligation de le vendre.

    L’état des lieux du 17/03/2009 a été effectué, et après 2 ans ½ de location, « ma bonbonnière » ressemble à un vrai taudis….!

    Outre, de me débattre avec l’agence pour récupérer des loyers impayés, pour lesquels elle ne veut rien entendre pour me dédommager de pénalités de retard, alors que cette clause est bien stipulée dans le bail de location, elle récupérait une partie des loyers après le 20 du mois, date des virements aux locataires. A force de réclamer, de trépigner, de taper du pieds, rien n’y a fait, à part de constater que l’agence faisait de la trésorerie sur le dos de ses clients.

    Mais ce n’est pas tout. L’état des lieux est déplorable, et il faut faire jouer la caution et une ouverture de dossier auprès de l’assurance que j’ai souscrite. L’agence, à ce jour, est d'une mauvaise foi totale, invente n'importe quel prétexte pour minimiser les dégâts notés sur l'état des lieux, que je démonte, attestation par attestation, se fait tirer l’oreille pour monter des dossiers concernant les différents postes à revoir, et ce n’est pas une première, car lors d’une précédente location, ils avaient omis de changer un luminaire endommagé par le précédent locataire. Ce luminaire n’a jamais été changé

    Conclusion de cette mésaventure: Nous, les petits épargnants, avons trimé toute notre vie pour améliorer l’ordinaire. Nous ne pouvons même pas compter sur des organismes agréés pour demander justice, et la réhabilitation de notre bien.

    Mais où va-t-on? Dans quel monde d’escrocs évoluons nous?

    Si mon histoire vous intéresse, je ne manquerais pas de vous donner mon adresse mail et de vous communiquer plus de détails.

    A vous de me dire ce que vous en pensez ?


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